N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2007-03-13

contre l'arrogance spontanéiste des blancs-becs


(A.S.) :: 0'46''::

taire

Pour me taire, il faudrait ne pas mourir.
(G.B.)

cf. bavardage philosophe

tonus

Les autres sentent bien ces différences en vous, ils les repèrent avant même que vous en ayez conscience. Leurs reproches, leur mauvaise humeur, leur aigreur vous étonnent, vous montrent la voie. En même temps, ils se trompent sur ce que vous êtes en train de désirer ou de faire : c'est épatant à vérifier, mathématique. Bref, c'est votre TON FONDAMENTAL qui les irrite au plus haut point, mais ce ton est là avant vous, il vient de plus loin que vous, il passe à travers vous, il vous crée, vous enfante, vous donne un sujet, des objets, une vie, une mort, un monde. Vous n'y êtes pour rien, vous êtes méconnaissable : n'allez pas vous plaindre, un jour, d'être méconnu.
(P.S.)

> non droit de simplicité

urgence

« L'enfer des vivants n'est pas chose à venir ; s'il y en a un, c'est celui qui est déjà là, l'enfer que nous habitons tous les jours, que nous formons d'être ensemble. Il y a deux façons de ne pas en souffrir. La première réussit aisément à la plupart : accepter l'enfer, en devenir une part au point de ne plus le voir. La seconde est risquée et elle demande une attention, un apprentissage, continuels : chercher et savoir reconnaître qui et quoi, au milieu de l'enfer, n'est pas l'enfer, et le faire durer, et lui faire de la place. » (I.C.)

> voir sa
> enfer son enclave